Entre obéissance et légalisme il y une distance invisible, puisque les actions visibles issues des deux attitudes sont en réalité les mêmes.
Cette distance invisible est du même ordre que celle qui existe entre faire les choses pour Dieu et faire les choses pour soi-même. Ce que nous faisons « pour Dieu » ne le faisons nous pas souvent en réalité pour satisfaire notre propre perception de ce qui est juste ou bon ? Les « bonnes œuvres » que je fais pour Dieu ne sont-elles pas souvent motivées par une mise en avant de moi-même plus que de Dieu ?
Très bonne prédication de Chris qui soulève le problème de notre motivation dans les choix de vie que nous faisons.
Entre obéissance et légalisme il y une distance invisible, puisque les actions visibles issues des deux attitudes sont en réalité les mêmes.
Cette distance invisible est du même ordre que celle qui existe entre faire les choses pour Dieu et faire les choses pour soi-même. Ce que nous faisons « pour Dieu » ne le faisons nous pas souvent en réalité pour satisfaire notre propre perception de ce qui est juste ou bon ? Les « bonnes œuvres » que je fais pour Dieu ne sont-elles pas souvent motivées par une mise en avant de moi-même plus que de Dieu ?
Très bonne prédication de Chris qui soulève le problème de notre motivation dans les choix de vie que nous faisons.